Après la Gambie…
Nous avons logé à Africa Strike, le repère des pêcheurs de gros poissons d’où nous avons fait un tour en pirogue dans les bolongs (mélange d’eaux salée et fleuve) bordés de palétuviers. Petit arrêt dans l’île aux coquillages , ses baobabs… Puis de nouveau la route qui n’a de route que le nom. Elle est tellement défoncée que, soit l’on slalome entre les trous, ce qui n’est pas toujours possible, soit on prend des pistes parallèles dans le sable ou la terre, option que nous choisissons. Il faut rouler à une certaine vitesse pour ne pas sentir la « tôle ondulée ». Ca secoue un peu, mais moins que sur la route.
De temps en temps, on prend des stoppeurs. On a transporté un couple qui amenait son bébé d’un mois malade au dispensaire. Pour les discussions, c’est un peu limité avec certains qui ne parlent pas français.
Arrêt à Kaolack, ville chaude. On opte pour un hôtel près du fleuve pour l’air, vue sur les gigantesques tas de sel. Les nuits sont chaudes (sens météorologique NDLR) malgré la clim, il vaudrait mieux dormir dehors mais gare aux moustiques et, surtout près de l’eau, aux infames petites mouches (au nom poétique de « mout-mout »)qui se déplacent en nuées, s’insinuent partout, et piquent…une horreur. Un seul remède : le ventilateur ou le vent. Visite du marché de Kaolack, immense, car à la croisée des routes sud (Gambie/Casamance) et est (Mali). Les vendeurs sont sympas et ne cherchent pas à vendre à tout prix ce qui, à la longue, est agaçant. On s’amuse un moment avec un vendeur de produits de beauté et d’encens (aphrodisiaque). Plus prosaïque, Patrice achète une nouvelle tapette à souris pour compléter sa collection, elle est en métal et la force de son ressort semble sans pitié, à voir…
Dernier soir
On chante on danse
Dernier jour
On profite…
de la plage
de la piscine
de l’ombre des manguiers et pommiers de cajou
de la vue sur les bougainvilliers…
La fin…
A l’aéroport, le loueur de voiture est ponctuel : 22h. Nous laissons la Suzuki avec regret.
Départ de Dakar prévu à 1h 25 , attente jusqu’à minuit, heure à laquelle nous apprenons que le vol est repoussé à 7h20 demain matin…
Pour nous, cela ne change pas grand chose, nous avions 8 heures d’attente à Tunis, nous effectuerons cette peine à Dakar de nuit.
Un repas est fourni, essai de repos sur les chaises du restaurant…
Après la Gambie…
Nous avons logé à Africa Strike, le repère des pêcheurs de gros poissons d’où nous avons fait un tour en pirogue dans les bolongs (mélange d’eaux salée et fleuve) bordés de palétuviers. Petit arrêt dans l’île aux coquillages , ses baobabs… Puis de nouveau la route qui n’a de route que le nom. Elle est tellement défoncée que, soit l’on slalome entre les trous, ce qui n’est pas toujours possible, soit on prend des pistes parallèles dans le sable ou la terre, option que nous choisissons. Il faut rouler à une certaine vitesse pour ne pas sentir la « tôle ondulée ». Ca secoue un peu, mais moins que sur la route.
De temps en temps, on prend des stoppeurs. On a transporté un couple qui amenait son bébé d’un mois malade au dispensaire. Pour les discussions, c’est un peu limité avec certains qui ne parlent pas français.
Arrêt à Kaolack, ville chaude. On opte pour un hôtel près du fleuve pour l’air, vue sur les gigantesques tas de sel. Les nuits sont chaudes (sens météorologique NDLR) malgré la clim, il vaudrait mieux dormir dehors mais gare aux moustiques et, surtout près de l’eau, aux infames petites mouches (au nom poétique de « mout-mout »)qui se déplacent en nuées, s’insinuent partout, et piquent…une horreur. Un seul remède : le ventilateur ou le vent. Visite du marché de Kaolack, immense, car à la croisée des routes sud (Gambie/Casamance) et est (Mali). Les vendeurs sont sympas et ne cherchent pas à vendre à tout prix ce qui, à la longue, est agaçant. On s’amuse un moment avec un vendeur de produits de beauté et d’encens (aphrodisiaque). Plus prosaïque, Patrice achète une nouvelle tapette à souris pour compléter sa collection, elle est en métal et la force de son ressort semble sans pitié, à voir…
Dernier soir
On chante on danse
Dernier jour
On profite…
de la plage
de la piscine
de l’ombre des manguiers et pommiers de cajou
de la vue sur les bougainvilliers…
La fin…
A l’aéroport, le loueur de voiture est ponctuel : 22h. Nous laissons la Suzuki avec regret.
Départ de Dakar prévu à 1h 25 , attente jusqu’à minuit, heure à laquelle nous apprenons que le vol est repoussé à 7h20 demain matin…
Un repas est fourni, essai de repos sur les chaises du restaurant…
Après la Gambie…
Nous avons logé à Africa Strike, le repère des pêcheurs de gros poissons d’où nous avons fait un tour en pirogue dans les bolongs (mélange d’eaux salée et fleuve) bordés de palétuviers. Petit arrêt dans l’île aux coquillages , ses baobabs… Puis de nouveau la route qui n’a de route que le nom. Elle est tellement défoncée que, soit l’on slalome entre les trous, ce qui n’est pas toujours possible, soit on prend des pistes parallèles dans le sable ou la terre, option que nous choisissons. Il faut rouler à une certaine vitesse pour ne pas sentir la « tôle ondulée ». Ca secoue un peu, mais moins que sur la route.
De temps en temps, on prend des stoppeurs. On a transporté un couple qui amenait son bébé d’un mois malade au dispensaire. Pour les discussions, c’est un peu limité avec certains qui ne parlent pas français.
Arrêt à Kaolack, ville chaude. On opte pour un hôtel près du fleuve pour l’air, vue sur les gigantesques tas de sel. Les nuits sont chaudes (sens météorologique NDLR) malgré la clim, il vaudrait mieux dormir dehors mais gare aux moustiques et, surtout près de l’eau, aux infames petites mouches (au nom poétique de « mout-mout »)qui se déplacent en nuées, s’insinuent partout, et piquent…une horreur. Un seul remède : le ventilateur ou le vent. Visite du marché de Kaolack, immense, car à la croisée des routes sud (Gambie/Casamance) et est (Mali). Les vendeurs sont sympas et ne cherchent pas à vendre à tout prix ce qui, à la longue, est agaçant. On s’amuse un moment avec un vendeur de produits de beauté et d’encens (aphrodisiaque). Plus prosaïque, Patrice achète une nouvelle tapette à souris pour compléter sa collection, elle est en métal et la force de son ressort semble sans pitié, à voir…
Dernier soir
On chante on danse
Dernier jour
On profite…
de la plage
de la piscine
de l’ombre des manguiers et pommiers de cajou
de la vue sur les bougainvilliers…
La fin…
A l’aéroport, le loueur de voiture est ponctuel : 22h. Nous laissons la Suzuki avec regret.
Départ de Dakar prévu à 1h 25 , attente jusqu’à minuit, heure à laquelle nous apprenons que le vol est repoussé à 7h20 demain matin…
Un repas est fourni, essai de repos sur les chaises du restaurant…