…dans une toute petite ville, St Lucia, avec une rue principale commerçante, les autres rues composant des quartiers résidentiels. Elle est entourée sur trois côtés d’un estuaire, d’un lac et de l’océan indien.
Elle a une particularité étonnante : chaque soir, des hippopotames sortent du fleuve, remontent les berges et parcourent les rues de la ville. Des panneaux de mise en garde jalonnent celle-ci.
Nous avons fait notre dernier safari photo dans le parc Hluhluwe ( prononcer chlou chlouwé) où girafes, impalas, éléphants, zèbres se promènent … Mais pas de lion ni de léopard. En revanche, un rhinocéros dans sa mare de boue s’est laissé photographier sous toutes les coutures, rejoint par un groupe de gnous à qui il a refusé l’accès à l’eau, puis une girafe qui s’est tenue à distance, et enfin une famille de phacochères qui s’est imposée.
La réserve naturelle qui mène au Cape Vidal est différente de ce qu’on a vu jusque là : une bande de terre bordée par l’Océan d’un côté, des terrains humides et étendues d’eau de l’autre, beaucoup de végétation et tout au bout… la plage ! Attention néanmoins au risque de requins et courants forts : la baignade des courageux a donc été brève mais revigorante.
Dernière activité sympathique à St Lucia : la balade en bateau le long de l’estuaire pour aller voir les hippopotames . Il faut une peu de patience pour le cliché parfait, le temps de faire la mise au point, plouf, ils ont déjà disparu. Pas de crocodiles à l’horizon pour cette fois mais un joyeux ballet des tisserins autour de leurs nids dans les roseaux, un aigle pêcheur, des martins pêcheurs et autres volatiles.
